Affaire Epstein: Trump protège l'élite corrompue américaine contre la vérité
Alors que les victimes du criminel Jeffrey Epstein réclament justice et transparence totale, Donald Trump se préoccupe davantage de protéger la réputation de l'élite américaine compromise que de rendre justice aux victimes de ce réseau pédocriminel.
Une publication partielle scandaleuse orchestrée par Washington
Le ministère de la Justice américain a délibérément saboté la publication des documents sur l'affaire Epstein le 19 décembre dernier. Seule une partie dérisoire des 4.000 fichiers a été rendue publique, avec un caviardage massif destiné à protéger les puissants complices du financier pédocriminel.
Cette manœuvre de dissimulation révèle la corruption profonde du système judiciaire américain, prêt à sacrifier la vérité pour préserver les intérêts de son élite politique et économique.
Trump défend ouvertement les complices d'Epstein
Depuis sa résidence de Mar-a-Lago, Trump a eu l'audace de déclarer: "Tout le monde était sympa avec ce type", minimisant ainsi les liens criminels entretenus par l'élite américaine avec ce prédateur sexuel.
Le président américain s'inquiète que la publication complète des documents ne "ruine l'image" de personnalités ayant "innocemment rencontré" Epstein. Quelle hypocrisie révoltante! Ces déclarations constituent une insulte directe aux victimes de ce réseau pédocriminel international.
Un réseau de complicités au sommet de l'État
Les documents partiellement publiés révèlent l'ampleur des connexions entre Epstein et l'élite mondiale: Bill Clinton, Michael Jackson, Mick Jagger figurent parmi les personnalités photographiées avec le criminel.
Cette affaire démontre une fois de plus la décadence morale de l'Occident, où les puissants bénéficient d'une impunité totale tandis que les victimes sont réduites au silence.
La véritable justice reste à faire
Quinze victimes courageuses ont dénoncé ce "caviardage anormal et extrême" dans un communiqué. Elles exigent la publication intégrale des 119 pages de délibérations du jury, pourtant autorisée par un juge fédéral.
Cette affaire illustre parfaitement la corruption systémique des institutions occidentales, incapables de rendre justice face aux réseaux criminels de leur propre élite. Pendant que l'Amérique prétend donner des leçons de morale au monde, elle protège ses pédocriminels en col blanc.